Bureau de APO Matthews_ Medecin légiste

La porte est le plus souvent entrouverte, et on en peut s'empècher d'être saisi par l'odeur ambiante, bien que l'on soit en dehors de la morgue qui se situe au bout du couloir, il flotte toujours cet étrange parfum mélant formol, odeur musquée et viande faisandée....

Sur le bureau se trouve se trouve l'essentiel, pot à crayon, quelques dossiers en cours, ou de plus ancien où l'apport de nouvelles preuves éclaire sous un jour nouveau certaines autopsies... À coté se trouve plusieurs cartons, remplis de livres des plus divers "Sciences du comportement humain", "Psychologie criminelle", "Traité d'anatomie", "Ethiologie", "Rite vaudou".... Dans le fond, un lit de camp militaire sert de couchage de fortune en cas de semaine chargée. La malette pour les relevés sur une scène de crime est placé près de la porte, pour être pret à sauter dans la voiture si jamais une situation d'urgence se présente (quoi qu'en médecine légale, le patient ne risque pas de s'enfuir)

La lumière blafarde des néons cadre bien avec les murs vert gris et le carrelage blanc. Sûr qu'elle ne jureront pas avec les cernes de Matthews qui est en train de dormir dans son siège un livre ouvert sur le nez le coté couverture dirigé vers le plafond, il semblerait que le lit de camp se soit révèlé trop éloigné du bureau tout compte fait ... Ses lunettes sont posées sur la table, et le café semblent encore chaud dans la cafetière du service qui se trouve sur une table à l'opposé du lit de camp... Le fumet de la boisson semblent bien être la seule odeur naturelle pour le néophyte mais pour tout les membres du C.O.P.S. ayant déjà quelques années d'expériences, elle se détache assez peu de l'ensemble du tableau de ce bureau...

Arrivé à la morgue l'endroit que je desteste le plus heureusement je me suis préparé j'ai pris quelques sacs au cas ou.
A l'ouverture des portes de l'ascenseur je tombe sur le "rital" qui n'est pas au mieu de ça forme lui aussi.

*Il doit être comme moi la mort c'est pas quelquechose de joli.*

Mettant ma main sur son épaule.

"Salut je suis Will, tu vas a la morgue pour cette sale affaire? Je suis comme toi la morgue n'est pas l'endroit que je préfere le plus.
*Merde, déjà des prises de nausées faut pas que le légiste me sorte des cadavres dégeulasses sinon je vais vraiment gerber.*

Je pris mon courage à deux mains et ouvrit la porte, je sais pas pourquoi mais je devais être blanc lors de mon entrée. Assez rare pour un peau rouge comme moi.

[Mon Dieu, ce type m'agresse, il me touche l'épaule !] Johnny se dégagea brusquement. Il se rendit alors compte que sa réaction avait dû, selon toutes les probabilités, paraître démesurée.
"Euh, oui, moi aussi, la morgue, euh, bof. Mais bon."
C'était décidé, il n'ouvrirait pas la porte lui-même. Le légiste viendrait leur ouvrir, ou alors cet homme s'en chargerait, mais en aucun cas il ne laisserait la lumière bleue et morbide se frayer un chemin jusqu'à ses yeux.

Pas le matin.

Plus tard, le soir, les yeux blancs des cadavres de femmes assassinées le tentaient bien, mais. Merde. Excusez moi Seigneur, j'ai pêché en pensées (bisX9). Un frisson lui parcourut l'échine. Il se décida rapidement, puisque l'homme à sa gauche restait inactif, à attendre quelqu'un qui ferait le premier pas.
Quelqu'un.

Johnny vit environ une dizaine de table avec des sac bleu foncé .
Il était immobile et avait la forme d'être humain couché .

L’atmosphère était froide et humide , les générateur et climatiseurs fonctionnais a plein temps se qui emplissais la pièces d'un léger bourdonnement .

La pièces était longue , très longue environ 10 m de longueur pour 4 de largeur .
Sur la droite on pouvais voir un mur ou trônais plein de porte métalliques il en avais sur tout le mur .

6 tables d'autopsies était au centre de la pièce , c'était des tables de métal brossé qui servais aussi d'évier . Quelque Brancard traînais pars là avec un sac demi ouvert d'ou un bras violet pendais .

Un odeur de viande émanais de cette endroit , mais pas la viande de boucherie , nan le sang la viande morte et froide , quelque chose d'impudique , que de voir ses hommes ses femmes nu dans le plus simple appareil qu'était leur mort .

les néon vieillot dispensais une lumière faible mais diffuse qui pulsais au yeux des non habitué , les ton était dans le bleu et le vert pâle , voir blanc quand il y avais du carrelage .
6 grosses lampe éteinte servais a mieux éclairé les cadavres de six personnes .

Au fond on pouvais voir le bureau de Mathew , probablement le seul îlot d’atmosphère normale avec sa fenêtre blindé et sa porte en bois , chose normale dans ce building .

Voyant "le rital" stoché sur le pas de la porte, je pris les devant entrant dans la zone lugubre de la magnifique morgue du HQ

*Vite faut que je trouve le bureau du légiste et pas laisser mes yeux se balader partout*

Après un rapide coup d'oeil dans la salle j'aperçu ce qui semblait être un bureau. Je me mis en direction de cette espace plus vivant que le reste de la pièce. Arrivé à hauteur de la porte je tocais.

" Bonjour je suis le détective Frantz je suis actuellement sur l'affaire des meutres de la saint valentin. Auriez-vous un rapport les analyses déjà faites ou faut-il que je reste lors de vos examens? Enfin je suis pas très à l'aise dans ce genre d'endroit alors si on peut faire ça vite je serais ravis."

Bizzarrement je devenais de plus en plus blême (même si s'est dur pour un peau rouge) et ne me sentais pas du tout à l'aise a vrai dire.

*Quand est ce que "le rital" vient me soutenir? j'ai besoin d'une aide.*

Moricelli semblait être resté en stand-by à l'entrée de la morgue, pourtant il va falloir qu'il se fasse aux petites balades improvisées dans le congelateur du poste. Abby avança d'un pas léger vers lui et passa devant en lançant un petit sourire.
Elle entra et repéra un nouveau qu'elle ne connaissait pas, le mec de type "Dernier des Mohicans" ne paraissait pas très dans son assiette non plus. La jeune femme entra et le salua.

"Bonjour, je suis le COPS Berdsen, Abby de mon prénom ^^, vous venez récupérer un corps?"

Devant eux s'étalaient les malheureuses victimes d'une bande de barbare, peut-être même d'un seul. Sur les tables d'autopsie étaient alignés une partie des douzes corps de la saint valentin. Doucement elle s'approcha de chacun d'eux, deux femmes et quatres hommes pâles, les lèvres bleues et sur leurs corps les trous des balles qui avaient pénétrées dans leur chair. L'odeur était horrible, malgré les pouvoirs conservateurs du froid ils avaient commencé leur lente dégradation.

Elle leva la tête en direction d'Apo.

"Du nouveau docteur? Vous leur avez déjà fait quelque chose? Si on pouvait avoir le plus d'info possible avant de partir sur les lieux ca nous serait d'une grande aide. Je ne sais pas... des similitudes peut-être..."

Me retournant en direction de la voix qui m'as interpelé et sorti de ma détresse. Mes yeux s'illumina de reconnaissance face à l'arrivé de cette jeune personne et lui répondit avec un sourire assez crispé.

"Bonjour, je suis Frantz Wiltraft, Will pour faire court. Je suis ici pour l'affaire des meurtres de la section alpha et j'attend le diagnostique du légiste."

En regardant la nouvelle arrivante qui avait l'air bien même dans ce genre de salle. Je me permit de "l'analyser" pour en connaitre un peu plus sur son caractère. JE me rendis vite compte que au vue de ça posture elle n'aime pas qu'on lui marche sur les pieds style sergent de l'armée.

* Enfin quelqu'un au caractère fort pour m'aider dans ce genre de situation. Aussi un endroit pour pouvoir poser mes yeux. Par contre j'ai pas interré à la faire chier sinon je risque de m'emprendre plein la gueule.*

"Désolé pour la tronche que je tire mais je suis pas fan de ce genre d'endroit. Vous êtes ici pour cette affaire? On pourrait faire équipe à moins que vous n'ayez déjà un partenaire?"

Ne pouvant regarder autre chose que le corps de la jeune femme pour éviter de reregarder les cadavres qui m'ont mis dans un sale état, je me sentis mal à l'aise du au fait que je me concidérais comme un pitoyable voyeur sauf que la situation est différente, je me rapprochais plus du pauvre pervers.

* J'espère qu'elle ne va pas me prendre le chou pour mes origines ou mon atitude. Enfin je pense pas qu'elle est ce genre de personne. Par contre elle est assez jeune pour avoir un caractère comme ça, respect.*

Nombre de messages : 2 Age : 34 Date d'inscription : 01/03/2007

(bon il faut tout de même faire avancer les choses, Loris je prend le contôle de l'assistant tu me dira si tu le veux après)
Feuilletant le rapport que lui avaient fait les flics sur les corps, Arthur poussa la lourde porte de la morgue et leva le nez du dossier pour examiner les intrus. Ils avaient osé pénétrer dans son sanctuaire... Une blonde et un indien, sans parler du rital qui avait élit domicile devant l’entrée. Le toubib réajusta ses lunettes et s’approcha d’eux, il eu un faible sourire en constatant que l’homme n’avait pas l’air très à l’aise dans la salle. Il passa devant et posa le rapport sur le bureau du docteur Matthews avant de se retourner vers les deux COPS.

« Je suppose que ces messieurs dames vous amènent ici ? »

Arthur ne supportait pas que ces imbéciles de flics viennent dans les morgues où il travaillait, ils ignoraient tout de la merveilleuse machine humaine qui parlait bien plus une fois morte que vivante. Encore fallait-il savoir la comprendre. Mais eux ne savaient rien, eux ne savaient qu’utiliser leurs armes, en plus ils ne ramenaient même pas les cadavres! Quel gâchis! Ils étaient comme des chiens, ils ne vous laissent tranquille et arrêtent de poser leurs questions stupides que lorsqu’on leur donne leur os à ronger. C’est pourquoi plus vite ils auraient leurs infos plus vite il débarrasseraient le plancher. Puisque Apo était plongé dans sa tasse de café immonde il prit le relais et se dirigea vers les corps puis fit signe aux deux flics d’approcher. Arthur s’empara d’un scalpel qui trempait dans un des petits bacs en inox et commença ses explications en pointant différentes parties du corps de l’agent Shepard.

« Regardez, notre défunt Max a reçut trois balles en tout, toutes logées a des endroits vitaux, le cœur, la tête et la carotide. Il en est de même pour les autres corps, ce qui laisse penser que le tireur a une bonne connaissance du corps humain et qu’il a une grande précision à l’arme de poing. Le canon n’était pas loin, 25 à 30cm au grand maximum, les traces de poudre autour des blessures ont assez importantes, je pense qu’il avait un silencieux.»

Il ajusta à nouveau ses lunettes et croisa les bras.

« Oui car les balles ont été tirées par un Hellfire, à vrai dire trois Hellfire différents. Par contre Bläka est notre grand gagnant en comptabilisant cinq balle ainsi que du sang qui ne lui appartenait pas. Mais peut être bien celui du tueur. Les meurtres ont eu lieu aux alentours de 23h00 jusqu’à 23h50 à intervalles réguliers. »

Arthur enleva ses gants de latex blancs et les posa dans une bassine. Si avec tout ca ils ne pourraient pas faire quelque chose…

« Des questions ? »

Après être montée pour déposer un de ses deux armes de service, Melody était redescendue vite fait dans la salle d'autopsie. Elle espérait que le légiste n'avait pas commencé à examiner le corps. Bizarrement, elle adorait regarder les autopsie. Voir un corps, les organes si directement, c'était hallucinant. Et aussi utile pour les faire avancer dans leur enquête.

Elle poussa le battant et eut presque une moue contrite. Le légiste avait quasiment terminé. Il énonçait ses conclusions. Apparemment celui, ou plutôt ceux qui avaient fait ça s'étaient bien amusés. Quel bande de.....

La jeune femme remarqua qu'il y avait une personne qu'elle ne connaissait pas dans le lot. Un autre COPS, apparemment de leur unité s'il trainaît par ici. Il n'avait vraiment pas l'air dans son assiette, à croire que les autopsies n'étaient pas sa tasse de thé.
Elle tourna la tête vers le légiste, et retint un haussement de sourcil. Beckett savait qu'elle n'était pas la plus normale des femme, mais ce type là avait franchement l'air bizarroïde avec ses lunettes en cul de bouteille.

*Ca se vend encore ce genre d'horreurs? *

Melody s'avança vers son groupe avant de poser une question.

"Je suppose que l'agresseur à tiré deux balles juste pour "s'amuser" étant donné qu'une aurait suffit à tuer les victimes, surtout à bout portant... C'est de l'acharnement... ou une signature. Et pour celui qui a reçu cinq balles, peut être s'est il défendu? Est ce qu'il y a des traces à part le sang étranger?"

Sursautant à l'arriver de cette nouvelle voix, instinctivement je me retournais pour voir qui était la nouvelle arrivante. Je me permis de la contempler un peu plus.

*Quelle co.... , elle m'a foutu les boules avec son arrivé. Heureusement ça m'a détendu.*

Regardant le légiste en essayant de ne pas trainer les yeux n'importe ou.

"Je pense ne pas être d'accord avec vous collègue sur la signature. Si le tueur à touché des points vitaux, il a du se renseigner dans des bouquins de médecines ou travaille dans ce domaine, pour tuer le plus vite sans que la victime ne puisse réagir. Le fait qu'il est pointé le fusil à environ 25cm montre qu'il ne devait pas être a l'aise avec un hellfire car s'est une arme précise je crois. Par contre en ce qui concerne la scène crime, peut-on avoir le dossier, pour connaitre le placement des corps, savoir si le tueur les connaissait? Pour les test ADN du sang, comme la demandé ma collègue, ça prendra combien de temps?"

Tournant la tête sur ma nouvelle collègue.

*Elle est quand même jeune. En tout cas je doit être le seul mec qui fais ça fiotte à la morgue entouré de deux femmes, alors qu'elles ne montrent aucun problème à aller dans un lieu aussi sordide ou la mort règne. Mais bon je suis comme ça dirais-je.*

*ah, mais bon dieu j'y crois pas, j'hallucine, ça doit être les néons, ces trucs sont cancérigènes, que foutent les types des mormes de sécurité, ce c'est pas possible: cette bonne femme ne peut PAS être déçue de ne pas avoir vu les cadavres plus tôt !*
En effet, même, si jusqu'à maintenant, il avait presque considéré ses coéquipiers comme supportables, là... Il n'était pas dégoûté par quelques cadavres nus, au contraire, mais cet acharnement... Malgré son dégoût, Moricelli fit un pas hésitant en direction de la table d'opération. Lui ne voyait pas la vérité dans les conclusions de ses collègues, mais il ne dit mot. A leurs remarques, il haussa juste les épaules, et frémit légérement de la moustache:
"Alors, on va où maintenant ?

Abby lança un sourire compréhensif à Frantz et rigola un peu à sa question. S’il était sur cette affaire c’était certain qu’ils feraient équipe. Elle hocha la tête pour lui confirmer et ajouta :

«Le capitaine ne nous a pas dit qu’il y’avait un nouveau venu parmi nous, plus on est de fou plus on rit ^^ notre ami Johnny qui est resté scotché devant la porte là-bas bosse avec nous également, ainsi que Beckett… »

Abby jeta un bref coup d’œil en direction de la porte et fronça les sourcils.

«D’ailleurs, je crois qu’elle s’est perdue.»

La jeune femme se sentait de plus en plus mal à l’aise avec le regard de Wiltraft sur elle, qu’est-ce qu’il avait à la regarder comme ça? Ce n’est pas quand même des années de célibat qui lui faisait de l’effet? Alors qu’elle examinait de près les petits trous dans les corps, la porte s’ouvrit, dévoilant un… homme. Oui si on peut appeler ça comme ca, à vrai dire Abby le classerait plutôt dans la partie xénophobo-nécrophilien avec ses lunettes en cul de bouteille. Le personnage était antipathique à souhait, sa voix glaciale faisait bien sentir qu’aucun d’eux n’étaient les bienvenus en ces lieux. Elle répondit un bref «oui» quand il demanda si les cadavres étaient à eux. Apo semblait s’être rendormi, aie, ils allaient devoir supporter ce mec.

Même pas un bonjour, il enchaîna de suite par le rapport d’autopsie. Abby mémorisa les informations qui lui paraissaient importante. Trois flingues différents, ca veut dire trois tireurs… Soudain Beckett fit son entrée, elle arrivait un peu en retard mais attrapa des petits détails à la volée qui lui permirent d’arriver à certaines conclusions. Mais Abby n’était pas vraiment d’accord avec elle et penchait plutôt du coté de Frantz qui venait de reprendre miraculeusement la parole. Elle secoua la tête.

«Oui peut-être qu’il a voulu s’amuser, ou qu’il voulait s’assurer qu’elles seraient vraiment mortes. Pour cette histoire de signature, comme Witraft, je ne pense pas que ca rentre en ligne de compte. Mais c’est bien possible que la dernière victime ce soit défendue, il a dû blesser le meurtrier qui soit à décidé de l’achever, soit à tirer les deux autres balles par maladresse. Je sais pas en tombant ou quelque chose comme ça. Il faudrait voir s’il y a des traces du même sang autre part dans la pièce. Merci des infos doc! »

Un petit sourire forcé et ca passera comme de rien. Pendant ce temps, Moricelli s’était enfin décidé à décoller de la porte et venir participer aux festivités malheureusement il arrivait trop tard. L’air toujours aussi dans le gaz il demanda seulement où ils allaient. Abby soupira et se passa une main dans les cheveux.

«Eh bien les enfants je crois qu’il va falloir aller sur les lieux, je crois que tout le monde est d’accord là-dessus, je sais que les mecs de la police scientifique ont déjà fait le ménage mais on est jamais mieux servit que par soi-même.»

Me mettant en marche vers l'ascenseur, je fis un signe au légiste qui avait l'air d'être content qu'on s'en aille.
"Petite question, qui est le chef du groupe, car pour l'administration il faut en désigner un. Je porte pas ma candidature pour l'être. Par contre on commence par quel cops? Car il faut aussi savoir ou l'on met les pieds avant."

Me retournant vers Abby.
"Désolé pour tout à l'heure. Ne vois pas là le fait que je sois en manque c'est juste que je déteste les cadavres et les crimes sordides. J'ai du mal a garder mon sang froid dans ce genre de situation."

Appuyant sur le bouton pour appeler l'ascenseur, je me retourne pour voir l'équipe ou je suis tombé, et un truc me mis la puce à l'oreille. J'ai pas mon arme de service.
*Chiotte, j'ai oublié de le prendre a l'armurerie. Bon en même temps je passerai sur mon bureau pour prendre un bloc-note.*
Je me sentais comme un idiot pour ce genre d'oubli.
"Hum... J'ai oublié de prendre mon arme de service. Je fais un saut au 35eme. Attendez moi devant le HQ."

==> Direction garages

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