Rendez-vous d'affaire...

South Central by night
Le truc dans ce quartier la nuit, c'est savoir éviter les fusillades... Pour cela, faut savoir quel gang est en guerre et dans quel quartier, et surtout, éviter les interventions et patrouilles du LAPD qui ont tendance à attirer les balles (et parfois pire). Ca fait faire des détours, mais ça évite de prendre une balle perdue...

Chez Johnny était un bar miteux, repère de la misère si fréquente de South Central: les junkies, les racailles, les gangs et les putes du quartier. Que des pauvres mecs et nanas qui n'avaient pas eut la chance de naître sous une bonne étoile.
Mais tous n'avaient pas la poisse... Coffield, par exemple. Il était, si les rumeurs à son sujets étaient fondées, un de ces rares types qui était né sous l'étoile de Dame Chance... pour la réussite "professionnelle" en tout cas. Un vrai petit magouilleur, spécialiste dans tous les commerces illégaux, mais son domaine de prédilection, toujours selon ces rumeurs, c'était les armes... La bête noire des Russes, en somme, quelqu'un d'intéressant...

Clay gara sa bécane dans une petite impasse sombre, vérifia qu'il n'y avait personne et s'alluma une cigarette. La soirée aller s'annoncer tendue : du temps où les Mexs voulaient s'inséraient dans le milieu des armes, il avait été sollicité pour éliminer des concurrents, notamment des membres des Florencia 13... et ces derniers le savaient.
Il sortit son cracheur de pruneaux et le vérifia.
*Curieux que je sois toujours en vie...* il jeta son mégot et sortit un tube d'excitant dont il avala deux cachets *...bon, au boulot*

Les néons bleus, présentant le nom du bar, clignotaient... quelques clodos et junkies se prenaient la tête à dix pas de l'entrée... s'ils en venaient à menacer le bar, pour le pognon ou une dose (ouais, Johnny était un dealer), les deux types à l'entrée les ferais taire à grand coups de colt terminators... qu'ils affichaient avec assurance.
Clay, s'approcha lentement, affichant son flingue... en signe de "courtoisie". La nervosité se sentit dans les yeux des deux gangers...
"Du calme... je viens voire un certain Coffield, il dit qu'il a un boulot pour moi."
Un temps de pause. *Trop long ! Soit sur tes gardes !*
"Ok, suit moi!"
Il avait le ton de ces types, qui ne font pas partie d'un super gang, mais qui s'y croient. Un pauvre gosse quoi.

Le bar était à la hauteur de sa réputation : un comptoir crade, des tables crades, des murs crades et des verres crades... et un peu partout, des impacts de balles, parfois réparés avec du mastic, et clairsemé un peu partout, des morceaux de verres qui n'avaient pas étaient ramassés... mais qui pouvaient faire de parfaites armes improvisés. Sur la clientèle, rien de nouveau : des junkies, des gangers et des prostituées, se prélassant dans un semblant d'existence, le temps d'un shoot, d'une gueule de bois, ou d'un moment de douceur...
Bref du South Central dans toute sa réalité.

Le ganger traversa toute la salle. Certaines têtes se levèrent sur le passage des deux hommes, mais aucune armes... le Florencia 13 avaient du prendre possession du bar récement, mais le patron n'avait pas l'air inquiété. Il avait du prendre l'habitude.
Ils descendirent au sous sol et l'escorte de Clay désigna une porte.
"C'est par là. Tu peux garder ta pétoire si ça te chante, mais huit de nos gars sont derrière cette porte, et ils ont du matos de compète... si tu joue au con, t'es mort ! C'est clair?"

Pour seul réponse, Clay se contenta de lui passer devant et d'ouvrir la porte... pour se trouver face à une demi douzaine de canon d'arme à feu : benelli tactical, fusil d'assaut M017 (et peut être quelques versions précédentes), et divers calibres d'armes de poing...
*Et merde... trop pressé.*
Au milieu de tout cet arsenal prêt à agir, se trouvait un petit blondinet, à la limite de l'anorexie. Il esquissa une sorte de sourire.
"Bienvenue, monsieur Curse..."

« Putain si le COPS vient foutre son né dans mais affaires sa va pas plaire au boss ! Et toi éteint cette putain de télé sa me rend nerveux ! »

Premier étage, chez johnny, les néons bleu qui éclairent la pièce, donnent une allure étrange à la pièce ! Deux gros lard avachit dans un canapé pourri par les mythes se régale devant un vieux film porno du début du siècle ! John lui est à part sur la table de la pièce principal devant sont PC portable en train de faire ses comptes et c’est pas brillant ! En deux semaines, les bénéf ont diminué de 15% et sa le Boss il ne va pas aimer !

*Fais chier depuis que ce connard du cops est venu foutre sa merde les affaires se casse la gueule, et là je risque pas seulement ma place mais ma peau aussi ! *

La semaine dernière à été dure, les infos qu’avait demander John l’avais ruinée, la première était l’identité de ce cops qui venait foutre la merde ! Mais seulement un pseudo : TITO
L’autre info c’étais celle d’un mec efficace et discret pour s’occuper de sa, bref un tueur à gage compétent d’après les rumeur ! Se serait un ancien Marines, et pour butter un cops c’est ce qu’il fallait…

« Tony va me chercher de quoi boire en bas ! »
« Ok sa roule »
« Rico appel ce Curse ou Curt je sais pas trop et demande lui de se poiter se soir ici, dis lui que j’ai un taf pour lui »
« Euh Senor, toi tu peu pas l’appeler ? »

John prend son flingue qui traine sur la table, se lève en se retournant, la chaise vol, la flingue atteint la tête de Rico,
« PUTAIN Rico tu fais ce que je te dis ou je te péte la tête, OK ? »
« Ok boss sa va je vais le faire faut pas être stresser comme sa, je vais le faire et maintenant boss »
*Bande d’incapable, juste bon à se toucher, et a jouer les kékés en brandissant leur tatouage bidon Florancia 13 dans le haut du dos… *

Rico se lève prend son portable et appel Curse, John se réinstalle, ramasse la chaise, regarde l’heure : 6H10.

« Boss, j’ai laisser un message »

*Faut espérer qu’il se pointe ce soir sa urge ! Avant faut que je dorme un peu*



« Hé patron »
« euh…. Quoi… »
« c’est Rico faut vous lever là, le tueur est là »
« Mais il est qu’elle heure ? »
« Ba y fais nuit là ! »

*Hé merde, j’aurai pas du prendre une dose avant de dormir…*

John s’assoie sur ce qui ressemble a un lit, un goût de vomit dans la bouche, d’ailleur s’en ai couvert par terre

*faut vraiment que j’arrête cette connerie, ou elle va me tueur avant que je prenne un balle*

« Bon Rico fait le descendre dans 10 minutes dans la salle en bas, je vais me laver »
« ok boss »

John prend une douche rapide descent en bas, au sous sol.

"Salut les gars"
Une dizaine d'homme "Salut boss"
"Bon les gars, ce type il rigole pas ok? C'est un tueur d'ac? Lui tous seul il en vaut 20 comme vous donc pas d'excès ni d'abus ok?"
"Ok boss"
"Bon on y va, et on lui en met plein la vue, arme lourde pour tous le monde, je vous répette, on ne rigole pas!"

John s'instale, sur SA chaine devant cette grande table, alors que les hommes d'installent un peu partout dans la pièce. Objectifs: lui en mettre plein la vue!

L'homme entre accompagné précédé de Rico...

Petit sourire:
*éxactement ce qu'il me faut!*

"Bonsoir Monsieur Curse, installez vous, la nuit va être longue... Un raffraichissement peu-être? ICE, Quertz, Coca, cigarre?"

Lentement, très lentement, la main de Clay glisse dans sa poche. La tension est palpable...les gangers sont nerveux, et feront feu au moindre signe d'agressivité. Seul Coffield semble détendu.

*Il est en position de force, et il le sait*

Clay sort de sa poche une cigarette, qu'il s'allumme.

"J"ai ce qu'il me faut Monsieur Coffield, merci. Vous vouliez me proposer un job? Très bien : qui ou quoi, quelles sont vos conditions et combien?

[Edit Liberty: Attention aux 10 lignes mini ]

John prend lentement un mouchoir posé sur la table afin de s'éponger le front...

*bon, pas d'écart comme la derniere fois, que tous le monde reste calme...*

(Le mec au fond a droite) "Hey toi, les deux mains visible"


"Bien, Monsier Curse,... je vous ai fais venir parceque j'ai comme un petit différents avec la police de LA, et dissont que vous êtes la clef afin de résoudre cette divergence d'opinion..."

" Rico, un café tous de suite,..."

Rico : "Tous de suite boss"
Rico sort de la pièce

"Avant de parler prix, et si vous ne prendrez pas de collation laisser moi vous demander si vous avez besoin se quelque... calibre que se soit?"

Une éternité semble s'écouler. Clay marche jusqu'à la table de Coffield, toujours sous la pression des multiples canons d'armes à feu. Sa cigarette est presque éteinte. Lentement, il écrase le mégot sur la table et en sort une autre qu'il porte à ses lèvres. Délicatement, le pouce et l'auriculaire de sa main gauche viennent saisir son arme à la ceinture. Le berreta enfoncer glisse doucement hors de son étui et vient se poser sur la table.
Les gangers sont toujours nerveux, mais ont l'air de se détendre. Leur patron sourit toujours.
*Quel erreur de me considérer comme inoffensif sans flingue...*

Clay s'assied sur la chaise grinçante en face de Coffield, allume sa cigarette, et range son briquet dans la poche droite de son trehi... ou se trouve la grenade à fragmentation. Gardant sa main dans la poche il maintien la cuillère enfoncé et retire la goupille avec le pouce.
Lentement...très lentement, il sort la grenade et la pose sur la table. Les gangers font quelques pas en arrière.
*inutile, si elle vient à exploser, tous les occupants de cette pièce seront réduis en charpie*

"Ne vous en faites pas Monsieur Coffield, je suis allé faire des courses ce matin... Je vous en prie, exposez moi votre affaire. Selon votre désir, je peux avoir besoin d'une arme supplémentaire, comme un fusil soporifique si vous voulez votre cible vivante. Les tarifs sont les suivants : 4000 $ pour le contrat, plus 500 $ par têtes que je serais obligé d'éliminer pour l'atteindre, plus 100 $ par jour et par tête que je suis obliger de protéger, comme vous si vous souhaitez m'accompagner."

*Une pause, le temps pour lui d'assimiler.*


"Bon, un membre de la police de LA? Ce doit être un sacré morceau pour que vous ne puissiez vous en occuper seul. Je vous écoute..."

John, sort tout en douceur un cachet d’ICE de sa poche

* Il ne rigole lui, mais j’aime sa, sa grenade, où l’a t-il achetez ?… En tous cas c’est le type qu’il me faut, précis et concis il sait ce qu’il fait et où il veut en venir ! *

« Bien, Monsieur Curse, voilà qui me plait, vous allez droit au but et sans hésitations, j’aime sa ! A en croire votre réputation vous êtes quelqu’un de plutôt efficace dans votre domaine ! Et dieu sais que vous devez avoir du travail dans la cité des anges ! Mais si j’ai fais appel à vos service c’est pour un travail complexe et bien particulier… »

John se lève, avale le cachet bleu fluo, et savoure la dose… le temps paraît une éternité pour tous le monde… Quand il revient à lui son visage ne laisse apparaître aucun sentiment qui déstabilise même ses hommes…

« Excusez cette interlude… reprenons »

La main droite dans la poche de son costard, poche trop petite d’ailleurs pour cacher autre chose qu’un Jocker. John marche tranquillement dans la pièce, et savoure ce moment ou le sang lui monte à la tête, où d’un moindre geste, agressif tous le monde saute ! Mais cela le rend indiffèrent au point même d’avoir envie d’essayer « pour se marrer ! »

Mais l’excitation du au stress et à l’ICE est trop bonne pour tous gâcher…

« Votre contrat, le premier ! Sera un Cops ! Je possède peu d’information quand à son identité »

John se rassoit alors, tous en faisant glisser le dossier qui était posé devant lui sur la table vers Curse. Ce genre de vieux dossier en carton marron clair…

« Vous y trouverez, deux photos prise de l’individu en service, il ne porte pas son masque mais vous pourrez l'apercevoir à sa ceinture (sur lequel est représenté un Lion), mais l’objectif étant loin et mal orienté nous ne pouvons distinguer son visage. Un CD vidéo sur lequel nous pouvons apercevoir la cible alors qu’elle était filmé par « South Central real time » (HRP : TV réalité filmant les ghettos du quartier, très à la mode !) et une carte du quartier correspondant aux divers endroit où il traîne faire ses ronde…. Voilà, je n’ai guère plus d’information, mais a en juger par votre détermination ceci ne doit pas vous arrêter… »

* Il faut qu’il accepte où je suis un homme mort, se serait regrettable pour…*

« Bon ! Passons à l’autre contrat, j’ai besoin d’un homme tel que vous ! Dans un futur proche je vais devoir augmenter mon périmètre d’action, agir à une plus grande échelle… Et il va me falloir un homme capable d’être très dissuasif quand à l’idée de mes concurrents de prendre ma place… Je suis un homme de parole M.Curse, si notre premier contrat se passe sans accros, j’aurai du travail, des armes et des dollars pour vous…»

* J’espère qu’il en vaut la peine, tous cet investissement de temps et d’argent… le boss n’est pas au courant mais s’il le savait putain je serait dans la merde… à moins que… avec ce genre de type … ce soit le boss qui est dans la merde…haha…*
« haha, heum… alors disons 1500$ maintenant avec une l’arme de votre choix se trouvant dans la pièce de derrière et 1500$ quand le contrat sera terminé avec la garanti de retrouver du boulot tout de suite après… »

John sort alors le jocker de sa poche, et l’avale…

« HA j’oubliai, bien sûr, 1000$ de plus si le contrat est vivant et que je peu jouer avec… HAHAHA »

La bouche de John se déforme alors durant quelque seconde, mais c’est toujours souriant à l’extrême qu’il regarde son interlocuteur…

*On dit de Los Angeles que c'est la Cité des Anges... le gars que j'ai en face de moi est tout sauf un ange. Ce type est dingue...*

La cigarette vient s'éteindre une fois de plus sur le bureau. La main gauche de Clay glisse lentement sur la table et saisit le dossier.

Les gangers sont pommés... ils ne savent plus où se mettre. Entre l'ex-marine qui maintient une grenade à fragmentation sur le bureau comme s'il s'agissait d'un verre à whisky, et leur flippant de patron que ça ne dérange absolument pas, qui enchaîne les shoots et parle comme si il s'agissait d'un vulgaire entretien d'embauche, ils sont largués... Les plus stressés dans l'histoire, c'est eux.

Clay ouvre le dossier de sa main inoccupée et se penche pour étudier les photos. Le LAPD... il ne s'y était jamais directement attaqué. Oh bien sur, des officiers en tenue et gars du bike squad s'étaient déjà pointé lors des fusillades entre gangs. Là, il avait ouvert le feu et en avait abattu... Mais c'était la première fois que la cible d'un contrat se trouvait être en être un membre. Qui plus est un cops, prestigieuse unité du maintient de l'ordre, fierté de Los Angeles... S'en prendre à un Cops, c'est s'en prendre au bureau entier.

Il jette un regard à Coffield, toujours souriant. Ses yeux trahissant une ambition démesurée... ou alors une folie sans bornes.
*Ouais... il est dingue.* Une douleur au niveau des tripes. *Peur? Pas possible!! J'aime pas ce regard, c'est tout!!*
Si... c'est de la peur... la peur de ce mec taré au possible... d'être sous ses ordres et d'obéir à ses moindres caprices. Une peur que Clay ne connaît que trop bien.

*Reprend toi vieux... c'est que pour un boulot de toute manière.*
Refermant le dossier, il se laisse aller sur sa chaise et porte une troisième cigarette à ses lèvres.
*De toute manière, j'ai besoin de fric. Et j'ai connu des types pires que lui.*
Il récupère ensuite la goupille de la grenade...
*Et s'en prendre à un Cops se sera une bonne expérience pour les fois à venir.*
... et sécurise l'engin explosif qu'il range dans la poche droite de son tréhi, où il récupère son briquet.
*En plus, si il peut m'avoir des armes pour pas cher...*


Clay allume sa cigarette et se lève.
"J'accepte votre boulot Monsieur Coffield. Vous aurez votre homme vivant, mais pour cela, j'aurais sans doute besoin d'une arme pouvant tirer des capsules soporifiques. Pouvez vous m'en procurer une?"


Dans la journée, Blood Channel a diffusé un fait divers intéressant : une dizaine de Cops se seraient fait descendre à leur domicile, à Venice Beach... généralement gardé plus ou moins secret. Cela voudrait sans doute dire qu'il y a une taupe dans leurs service.
*Plan simple : je trouve le gang et les mecs qui ont fais ça, me rencarde sur la taupe, la retrouve, lui fait cracher l'identité du Cops en question et c'est réglé... ouais, ça parait simple comme ça.*


"Je vais à Venice Beach, là ou des Cops se sont fais descendre chez eux la nuit dernière... peut être qu'il y a une taupe dans leur service. ça vous intéresserait de venir pour en savoir plus dessus?"

* Une taupe ?… Intéressant, si l’on tient ce genre de type entre nos mains sa pourrais leur faire très mal à ces enculés de cops…et surtout je pourrais reprendre les affaires en ayant une longueur d’avance sur eux ! Ce type Curse Clay, il n’est pas si con, c’est un mec comme sa qu’il me faut en lieutenant…reste à voir ce qu’il vaut réellement dans la rue… *

John se lève, toujours le sourire aux lèvres ! (le jocker faisant toujours effet)

« Messieurs veuillez nous laisser seuls un instant ! »
« Mais patron il est armée ! »

Le mot de trop, John est encore sous l’emprise du jocker et de son adrénaline, il supporte difficilement ce genre de manque de respect, surtout devant un invité de marque tel que Curse…

Alors il fait un clin d’œil à Curse, et sort doucement un couteau de combat de sa ceinture.

« Ne vous inquiété pas monsieur Curse, c’est juste une remise au point ! »
John se retourne vers le faiseur de trouble…
« Eldric c’est sa ton nom ? »
« Oui, Monsieur mais je suis désolé, je ne recommencerais pas… »

Tous les hommes commencent à sortir sauf un, ses genoux tremblent, il n’ose pas ou peut être ne peu pas lever son arme, tellement il tremble.

« Monsieur ne faites pas sa je vous en pris ! »
« Pose ce fusil par terre ou je te défonce la gueule en prime ! »

L’homme s’exécute, et s’approche de John

« Pose ta main sur la table…POSE TA PUTAIN DE MAIN ICI !! »

* je ne supporte plus ce genre de goss qui se prend pour un killer, je vais te faire souffrir espèce de petit enfoiré *
L’homme pose alors sa main sur la table et, le sourire aux lèvres, John, tel un bourreau plante la lame dans celle-ci de telle sorte que la lame traverse la table. Et lui chuchote à l’oreille alors qu’il hurle :

« Si tu recommence à me manquer de respect je te tue mais en douceur de sorte que tu comprenne ton erreur… hahaHAHA»

Plus il hurle plus John se marre…mais la douleur se faisant insupportable l’homme s’évanoui tel un pantin avec la main toujours sur la table.

« Je suis désolé, mais vous savez ce que c’est de diriger des hommes,… les gangs comme nous sont tel une meute de loups affamés où chaque membres provoque en permanence son supérieur, espérant prendre sa place ou bien lui lécher le cul… Votre affaire de taupe m’intéresse et je vais vous suivre, en effet de telle informations peuvent être très intéressantes »

«Suivez-moi M. Curse, je vais vous conduire vers notre magasin, vous voulez une arme n’est-ce pas ? et je crois avoir tous ce que vous désirez… »

"J'ai une voiture si vous voulez bien me suivre, mes marchandises sont sur les Dock. Nous n'avons qu'a y allé dès que je vous aurai payer ! HEY RICO AMENE LA VALISE OU IL Y A TOUS LE LIQUIDE"

Impassible face à la scène, le regard légèrement perdu dans ses pensées, Clay ne se souvient que trop bien des châtiments qu'il a lui même infligé à ses hommes pour les maintenir en rang... Ce qu'il vient de voir n'aurait été qu'une introduction à la punition du marine qui aurait refusé d'exécuté un ordre durant les Narco Guerres... même s'il s'agissait d'un ordre suicidaire.
*En fait, ce Coffield n'est pas barge. Il se montre ainsi pour faire flipper ces hommes et les tenir... et on dirait que ça marche.*

Revenant à lui, il récupère le Beretta Enfoncer en passant sa main au dessus du corps inconscient d'Eldric et le rengaine.
"Vous vous en sortez bien tout de même. " Sortant une cigarette. "Pour le maintient de votre autorité je veux dire. Gérer une bande comme celle ci ne doit pas être aisé. Je sais effectivement ce que c'est."

Le dénommé Rico entre avec une grosse valise, mais hésite à s'approcher voyant le corps inerte d'Eldric. Un regard à son patron le fait redescendre sur terre. Il se dirige vers la table, en dégage le blessé et y pose son précieux bagage qu'il ouvre... à l'abris du regard de l'ex-marine.
*Sans doutes les économies du gang. Si ça merde, leur patron va vouloir des explications, et ça va chier... pour moi y compris.*

Rico sort une liasse de grosse coupure et la lance à Clay qui l'examine aussitôt.
*J'espère au moins que les billets sont vrais... y a l'air d'avoir le compte.*

"Bon, sinon pour l'arme ça presse pas. J'aimerai être là bas avant que les flics aient fini de tout ramasser. Envoyez vos hommes la chercher. Je vous attends devant le bar dans deux minutes, le temps pour moi de récupérer ma bécane et pour vous de vous préparer."

Sur ce, Clay sort de la pièce et remonte dans vers le bar, rien a changé... l'entrevue n'aura pas duré plus d'un quart d'heure... Il allume sa cigarette.
*Bon sang j'ai l'impression que ça a duré des heures!*
En sortant, il croise les homme à Coffield. Les regards qu'ils lui lancent son tout sauf amicaux.
*Ben je sens qu'on va bien s'entendre.*

Il rejoint ensuite sa vielle Harley, un model du début du siècle, vérifie que tout est là et démarre pour rejoindre l'entrée du bar.

John sort à son tour, le sourire aux lèvres, le jocker faisant toujours effet...

Il monte dans ce qu'il ressemble à une piole, là son allongé sur le lit deux putes comlétement défoncé. Des odeurs corporelles, d'alcool et de m'alnge de drogue se font sentir...

John les regarde blazé:

"Salut Johnny, alors tu viens prendre un peu de bon temps?"
"Allez cassées vous!"

Les deux putes sortes...

John prend rapidement quelleque cartouches qui trainent dans la table de nuit.

Son portable sonne...

John le sort de sa poche:

"Putain c'est le boss"
...
"Allo, Boss?"
"Hola John, alors comme sa tu engage un tueur sans m'en informer?"
"C'est pas ce que vous croyez patront c'est juste que vous savez comme les affaires vont mal en ce moment, ce mec il nous fil un petis coup de main!"

"...Hum...Tu sais Johnny, si j'aprend que tu veux me faire un sale coup...ta punition sera la même que pour tous le monde..."
"Je sais patront... mais ce n'est pas le cas..."
"Bien."

Le boss racroche...

*Putain! Lui il va finir avant moi avec un trou dans le crane!*

Le front de John est couvert de sueur, dans la pièce il fait presque 40°C

John prend un 9mm juste au cas où, qu'il planque à la cheville, et se dirige vers la garage derrière...

En descendant il croise Rico,

"Hey Rico, va dire a ce Curse que je le suis, seul... Et prend une autre voiture avec deux hommes et suis nous discrètement, surtous ne te fais pas voir de Curse...je ne sais pas encore si je peu lui faire confiance..."
"Bien partront"

Quelues minute plus tard, un 4X4 noir sort devant le bar, au volant John... et les deux hommes se suivent vers venice beach...

Ce n'est que quelque seconde après que Rico et deux homme dans une cadillac noir aussi sortent du garage et se dirige aussi derrière les deux hommes.

Le portable de Rico vibre...

"Allo Patront"
"Bonjour, Rico, je veux que tu surveille ce Coffield et que tu me tienne au courant de tous ses faits et geste, je veux des rapports toutes les deux heures..."